En Belgique, une loi a été établie en 1986 sur le prélèvement et la transplantation d’organes et de tissus. Celle-ci stipule que « qui ne dit mot consent » : en l'absence d'informations précises sur le fait que la personne refuse de donner ses organes, il ou elle est supposé(e) être d'accord. Mais dans les faits, les médecins consultent toujours l’avis des familles sur la question. D’où l’importance d’aborder le sujet avec ses proches ou de se déclarer explicitement comme donneur à la commune.
Découvrez l'émission radio où le Pr Jean-Charles Preiser aborde cette thématique aux cotés d'Isabelle Sénépart, infirmière, ex-coordinatrice de transplantation à l'Hôpital Erasme et actuellement en charge de la promotion du don d’organes au SPF Santé publique, et Jean-Claude Carette, président de l’Association nationale des greffés cardiaques et pulmonaires.
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